Le maître des maîtres med taher fergani voix exceptionnelle

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Le maître des maîtres med taher fergani chante besm el krim

Le maître des maîtres med taher fergani Chante kouna fi ichka

Le maestro du malouf med taher fergani soirée à Paris nouba ramel meya

Le maître des maîtres med taher fergani Chante ma aandi zela

Le maestro du malouf med taher fergani soirée à jijel en 1988

Le maître des maîtres med taher fergani soirée à rome

Le maestro du malouf med taher fergani Chante bilah ya hamami

Le maître des maîtres med taher fergani chante inklabat hsin

Le maître des maîtres med taher fergani chante el houb ma aatani fatra

Le maestro du malouf med taher fergani Chante gharamek

Le maestro du malouf med taher fergani Chante fad el wahche aaliya

Le Maestro du Malouf med Taher Fergani des Capacités Exceptionnelles

Le Maître des Maîtres med Taher Fergani Mariage à Annaba

Le prodige Mohamed Tahar Regani dit Fergani naît dans une famille de musiciens. Son père, Cheikh Hamou Fergani (1884–1972) était un chanteur et compositeur algérien réputé de Houzi, un style populaire en provenance de Tlemcen. Il est d'abord formé à la flûte (de roseau, appelée fhel ou djouwak) lorsqu'il a six ans et ensuite tous les instruments andalous[7] et par son frère Abdelkrim au métier de la broderie. Mohamed Tahar Fergani débute dans le genre oriental, du genre charqi en provenance d'Égypte dans un ensemble Toulou' el Fadjr (l'aurore). Puis il change par la suite de style musical pour se rapprocher du Malouf, propre à Constantine et sous l'instigation de son maître Cheîkh Hassouna, mais également de Cheîkh Baba Abid et que son père lui avait déjà enseigné les bases.

Maître de Malouf qui est le répertoire de la musique arabo-andalouse de l'école de Constantine, Mohamed Tahar Fergani est l'un des rares chanteurs à interpréter des compositions sur quatre octaves

Ce qui caractérise Mohamed Tahar Fergani, c'est « sa voix chaude et puissante, fortement imprégnée de couleurs orientales qui l'a rendu célèbre très rapidement »[5] et son coup d'archet.

En plus du Malouf, il interprète le Mahjouz (genre populaire constantinois qui dérive du Malouf), Zjoul (genre musical constantinois, aussi ancien que le Malouf) et le Hawzi (genre populaire qui dérive du Gharnati de Tlemcen)[8].

Toute la famille Fergani est initiée au Malouf. Sa sœur Z'hor Fergani (1915–1982) était aussi chanteuse[4] et son fils ainé, Salim Fergani est un cheîkh de Malouf reconnu et aussi son petit-fils Mouhamed Adlen fergani qui chante du Malouf aussi et il est considéré comme la quatrième génération dans la musique après son oncle Cheikh salim son grand-père Mouhamed tahar fergani et son arrière grand-père hamou fergani.

Mohamed Tahar Fergani a des centaines d'enregistrements à son actif et a reçu plusieurs prix internationaux . Il a créé son orchestre et son école à Constantine. Le 18 mai 2008, il a fêté son 80e anniversaire à l'Unesco à Paris. L'icône du Malouf décède le 07 décembre 2016 

Le Maestro med Tahar Fergani Un Maître Pas comme Les Autres.

Que dire de ce personnage mythique qui a su régenté le musique constantinoise , si l’orient a connu abd el wahabe et oum kaltoum nous les maghrébins on ne peut que êtres fière d’avoir un génie parmi nous par sa voie mélodieuse et sa virtuosité de jouer le violon il a su conquérir les cœurs de plusieurs générations constantinoises , en écoutant ce personnage en voit en lui un talent fou ou il as pu ouvrir a nous des mondes merveilleux qui été loin de nous (Andalousie et tout la magie de l’orient ) on voie dans ce personnage une certaine ferveur qui nous montre son attachement a cette musique si savante et universelle et en même temps il donne a cette musique un certain style ou en constate que le Maghreb et l’Andalousie nous rappelle notre identité et notre passé si glorieux il est né dans une famille de grand musiciens en plus sa formation a été avec les grand alors en peut que donner une analyse subjective que ce personnage va devenir l’un des grand maitre de sont temps et effectivement sa renommer a des dépasser les frontière de notre pays.

Cheikh El-Hadj-Mohamed Tahar El-Fergani,de son vrai nom Reganni, né le 9 mai 1928 dans la ville de Constantine dans une famille d’artiste ou son père été un maitre incontesté d’un genre musicale qui été le haoizi avoir un frère qui maitriser le luth à la perfection avoir côtoyé les grand maitre tel que baba abeid et si hassouna ainsi que maamar ben rachi et ne pas oublier cheikh toumi ou ces connaissances été loin d’être infinie n’oublie on pas que il avait des correspondances avec grand maitre d’autre écoles ex (Cheikh redoine ben sari dahmane benachour)
C'est à l’âge de 18 ans, qu'il se consacre entièrement à la musique et débute comme joueur de fhel (un instrument de musique à vent apparenté à une petite flûte) dans l’orchestre d’Omar Benmalek, avant de se tourner vers le genre charki (oriental, d’inspiration égyptienne) au sein de l’association Toulou’ el Fadjr (l’aurore). Sa voix chaude et puissante impressionne dans l’interprétation de chansons d’Oum Kalthoum ou de Mohammed Abdel Wahab.
1951, à Annaba, il se fait remarquer à un concours musical, dont il remporte le premier prix, et, dans la foulée, enregistre un premier album qui l’impose, à la fois, comme chanteur populaire et maître du malouf. Au contact des grands maîtres de l’arabo-andalou algérien
avec beaucoup de talent, de confiance, de sagesse... Il n’a pas cessé de défendre l’art algérien en enregistrant les chefs-d’œuvre de la chanson malouf, pour sauvegarder un patrimoine splendide malheureusement en voie de disparition.

les année 60 et 70 il va être le chanteur le plus populaire a l’échelle nationale et internationale , et a partir de la fin des année 70 jusqu'à nos jours il a enregistré 150 disques 33 45 tours ,plus de 100 cassette , et 50 CD , plus de 500 chanson , 10 nouba , des mariages illimité et des soirées a travers le monde ( Allmange , la Russie , l’Espagne la France , la Suisse , la Bulgarie , la Belgique , les U.S.A dont il a fait 6 soirée a Washington , New York, Boston , aiwa ,est plusieurs villes) .

Il a fait une tournée a travers les payes arabe la Tunisie Égypte , Maroc ainsi a travers le Sénégal et la Turquie , Ouzbékistan et d'autres pays , en effet le chanteur Constantinois est l'idole de tout le monde qui fait la joie du public en écoutant ces merveilleuses mélodies du malouf..
El Hadj Mohamed Tahar Fergani est le père du maâlem
Salim Fergani, une autre célébrité de la musique arabo-andalouse, L'hutiste expérimenté qui s'exprime volontiers avec bonheur dans les principales formes poético-musicales, malouf, zajal, mahjouz et hawzi, constituant le répertoire familial, transmis fidèlement d'une génération à l'autre.

Le malouf grâce a lui est mondialisé il a réussi a la faire renaître, cette musique formidable qui était ignorée par les gens ainsi il a formé des génération de jeune musiciens et des chanteurs de façon directe par leur adhésion dans son association nommée " EL FERGANIA " fondée en 1985, comme il a pu pousser des jeunes talons a apprendre cette musique D'une façon indirecte grâce aux disques et aux cassettes et cd .
Les Fergani par ailleurs, de père en fils, ont participé à inscrire la chanson malouf en grandes lettres dans la musique maghrébine et celle du monde entier, en créant le style, en adorant le style, et en faisant une grande école qui demeure à jamais une partie profonde de l’histoire du peuple algérien
Primé à de nombreuses occasions et consacré tant sur le plan national qu'au niveau international, Fergani demeure l'une des références majeures et est souvent l'invité incontournable de toutes les manifestations culturelles où la qualité artistique prime sur l'effet de mode. Son sens mélodique aigu, son génie sans pareil dans l'improvisation, la richesse de son style, sa virtuosité dans le maniement du violon, tenu à la verticale, et son audace à dépasser ses limites ont fait école et, pour lui, c'est la plus belle des récompenses pour une aussi longue carrière

Capacité :

1 Une voix incroyable ou elle joue dans tous les modes et toutes les notes

2 Musiciens polyvalent (il joue de tous les instruments à la perfection) luth, guitare, mandoline, piano, flûte, clarinette est sans oublier son instrument favori le violon

3 Avoir développé un style propre a lui

4 Il peut chanter toutes les chansons en les transposant dune gamme très haute qui s’appelle Ramel et Hsin

5 Il peut jouer avec son mineur " petit doigt de la main droite" du violon et descendre jusque a la 5 éme position aiguë ou grave sans fausse note.

6 Connaissant les trois écoles et jouer les morceaux des trois écoles à la perfection

7 Développant des modes qui né été pas dans le répertoire constantinois exemple (mode gheribe)

8 Maitrise du jeu de violon d’un gaucher ou le violon reste accorder a un droitier

Conclusion:
En écoutant hadj Med Tahar fergani on peut que dire que cet un ortolan qui nous sassera de nous émerveiller
Med Tahar Fergani est l'homme du malouf, en plus il est admiré par tous les algériens, ansi son style de musique est partout dans le monde , il a consacré sa vie pour le malouf constantinois, en peux que dire qu'il a été remercié par tous les algériens ainsi par tous les chef d'état pour ce qu'il a apporté aux constantinois, aux algériens, au monde.
Tout le monde connaît Fergani pour sa musique, ces chants,

Amine Kardoussi Petit Fils Du Maitre Med Taher Fergani

Musée Med Taher Fergani

Retraçant les principales séquences du parcours artistique de Med Taher Fergani, ce musée contient des centaines de photos du défunt, plusieurs instruments musicaux qu’il utilisait, ses disques et enregistrements, certaine de ses affaires personnelles, et les attestations d’honneurs et trophées qui lui ont été décernés tout le long de son parcours.

Ce musée comprend également "un pavillon d’honneur" orné du violon cher à El Hadj Fergani, la médaille de l'ordre de mérite national "Achir" que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika lui avait décerné et une lettre signée par le chef de l’Etat en signe de reconnaissance pour sa contribution pendants sept décennies dans le domaine artistique au service de la chanson andalouse.

Les portes de ce nouvel espace demeureront ouvertes pour les férus du Malouf et de Hadj El Fergani en particulier, a souligné le directeur de la Culture, Zitouni Aribi, affirmant que ce musée retrace pour les futures  générations le parcours du rossignol de l’antique Cirta.

L’ouverture de ce musée est "un signe de reconnaissance au maître du malouf, considéré comme l’un des principaux repères de la musique algérienne ayant consacré toute sa vie au service de la chanson andalouse dans son genre malouf en particulier", a souligné le responsable, qui est revenu sur les multiples contributions du défunt.

La cérémonie d’ouverture, qui s'est tenue en présence des autorités locales, a été marquée par la présentation d’un documentaire retraçant la vie artistique de Mohamed Taher Fergani, le monument de la chanson malouf et de la culture algérienne" intitulé : "Les grands qui ne meurent pas" du réalisateur Ali Aissaoui.

De son vrai nom Regani, Mohamed-Tahar est né le 9 mai 1928 à Constantine dans une famille de musiciens. Son père, Cheikh Hamou Fergani (1884-1972) était un chanteur et compositeur réputé du genre hawzi.

Mohamed Tahar Fergani a débuté sa carrière artistique dans le genre oriental égyptien évoluant dans une troupe musicale avant de changer de registre et de s’orienter vers le malouf propre à Constantine, sous l’influence de ses Cheikh Hassouna Ali Khodja et Baba Abid.

En 1951, à Annaba, il se fait remarquer à un concours musical, dont il remporte le premier prix, et, dans la foulée, enregistre un premier album qui l’impose, à la fois, comme chanteur populaire et maître du malouf. Au  contact des grands maîtres de l’arabo-andalou algérien, tels Dahmane Ben Achour ou Abdelkrim Dali, il perfectionne son art.

Sa voix exceptionnelle et son coup d’archet inégalable ont fait de Hadj Mohamed Tahar le maître incontesté de l’école du malouf constantinois.

Appelé la mémoire vivante du malouf, El Hadj a œuvré pendant les 70 ans de sa carrière artistique à perpétuer la musique malouf et n’a cessé de charmer par la qualité de son interprétation un grand nombre de mélomanes.

Il compte à son actif des centaines d’enregistrements de chansons malouf mais également dans les genres musicaux, le mahjouz, le zjoul et le Hawzi.

Des enregistrements, de l’avis des musicologues, qui ont amplement contribué à préserver le patrimoine musical de Constantine.